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Histoire de

Commune du Brantômois

Bienvenue sur la page consacrée à l’histoire de Bussac. Ici, nous vous invitons à explorer les faits marquants de notre commune à travers les époques. Découvrez l’église romane du XIIe siècle, témoin du passé, et plongez dans les événements clés qui ont façonné notre histoire.

Situation

Commune vallonnée et boisée à vocation agricole, d’une superficie de 1 728km² Située à 15km de Périgueux, au carrefour des départementales D2 et D109 au Sud-ouest de Brantôme. Altitude moyenne 165 m. La commune est traversée par la Donzelle, petit affluent de la Dronne, qui autrefois animait plusieurs moulins. Son étroite vallée passant par des lieux-dits évocateurs comme : « Chante grenouille, Saute-mouton, Moulin rompu, … ». La population est en augmentation constante depuis plusieurs année (197 habitants en 1975, 267 en 1990, 375 en 2014) et 392 Habitants (recensement 2022).

Le bourg de Bussac s’est construit autour d’une superbe petite église romane. Église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul, classée par arrêté du 15/02/1974 sur la liste des immeubles protégés des monuments historiques. Dès le XIIe siècle, une église existait dont il reste le chœur et le clocher. Au XIIIe-XIVe siècle, deux chapelles furent
élevées sur la face nord, dont il ne reste que les arrachements des arcs d’ogives qui les voûtaient. La guerre de Cent ans obligeant les habitants à s’y réfugier, l’église fut fortifiée par une surélévation du clocher et l’aménagement de chambres de défense. L’édifice actuel ne comporte plus qu’une nef sans travée, suivi d’un chœur, sous coupole, à chevet plat. Pour répondre aux besoins de défense du XIVe siècle, les murs de la nef furent renforcés et leur épaississement soulagé par deux arcs de décharge de chaque côté, et dont le sommet, à mi-hauteur, dut servir de chemin de ronde. Dans la pile sud de l’arc qui sépare le chœur de la nef, un escalier a été aménagé, conduisant au chemin de ronde puis aux chambres de défense du clocher, avec un palier ouvrant à la base de la coupole. Le chœur est voûté d’une coupole sur pendentifs. Des traces de peintures qui décoraient le sanctuaire au XVIIIe siècle subsistent. Le clocher carré s’élève sur le côté Est, et constitue le chevet plat de l’édifice. Il est percé de meurtrières correspondant aux chambres de défense. Sur sa face ouest, une petite ouverture donne accès au comble primitif. La cloche actuelle fondue à Saint-Émilion en 1877 a été baptisée par sa sainteté la pape Pie 9. La statue restaurée de la vierge et l’enfant a retrouvé sa place dans l’église.

Bussac dans le Brantômois : Carrefour stratégique entre Périgueux et Brantôme

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Bussac, Commune du Brantômois, est située à moins de 15 km de Périgueux au carrefour de la D2 et D109 au sud-ouest de Brantôme.

La commune couvre une superficie de 1 728 hectares et compte 375 habitants, altitude moyenne 165 m.
La population est en augmentation constante depuis plusieurs année (197 habitants en 1975, 267 en 1990, 375 en 2014).

La vallée de la Donzelle traverse la commune en passant par des lieux-dits évocateurs comme : « Chante-grenouille, Saute mouton, Moulin rompu », etc.

La première mention écrite connue du nom du village remonte XIIIème siècle sous la forme « Bussas » puis « Bussacum » au XIVème siècle. Le nom de BUSSAC viendrait du latin « BUCCA » bouche en français. En Occitan, ce serait « Buçac ».

La commune a été rattachée en 1790 au canton de Lisle qui dépendait du district de Périgueux. Lors de la suppression des districts en 1795 et du canton de Lisle en 1800, la commune est rattachée au canton de Brantôme qui dépend de l’arrondissement de Périgueux.
Le 18/12/2001, la commune adhère à la Communauté de Communes du Brantômois qui disparaît fin 2013, remplacée par la Communauté de Communes Dronne et Belle le 1er janvier 2014.

Photo du vieux Bussac

Bussac : Au cœur de son patrimoine agricole et religieux

La commune est essentiellement à vocation agricole et compte encore trois agriculteurs, tous membres du Conseil Municipal.
Le bourg de Bussac s’est construit autour d’une superbe petite église romane datant du XIIème siècle.
Église classée par arrêté du 15/02/1974 sur la liste des immeubles protégés des monuments historiques.
Dès le XIIe siècle, une église existait dont il reste le chieur et le clocher. Au XIIIe-XIVe siècle, deux chapelles furent élevées sur la face nord, dont il ne reste que les arrachements des arcs d’ogives qui les voûtaient. La guerre de Cent ans obligeant les habitants à s’y réfugier, l’église fut fortifiée par une surélévation du clocher et l’aménagement de chambres de défense. L’édifice actuel ne comporte plus qu’une nef sans travée, suivi d’un chœur, sous coupole, à chevet plat. Pour répondre aux besoins de défense du XIVe siècle, les murs de la nef furent renforcés et leur épaississement soulagé par deux arcs de décharge de chaque côté, et dont le sommet, à mi hauteur, dut servir de chemin de ronde. Dans la pile sud de l’arc qui sépare le chœur de la nef, un escalier a été aménagé, conduisant au chemin de ronde puis aux chambres de défense du clocher, avec un palier ouvrant à la base de la coupole. Le chœur est voûté d’une coupole sur pendentifs. Des traces de peintures qui décoraient le sanctuaire au XVIIIe siècle subsistent. Des traces de peintures qui décoraient le sanctuaire au XVIIIe siècle subsistent. Le clocher carré s’élève sur le côté Est, et constitue le chevet plat de l’édifice. Il est percé de meurtrières correspondant aux chambres de défense. Sur sa face ouest, une petite ouverture donne accès au comble primitif.

De Saint-Émilion à Bussac : L'histoire de la cloche de 1877

La cloche actuelle fondue à Saint-Émilion en 1877 a été baptisée par sa sainteté le Pape Pie 9. La statue restaurée de la vierge et l’enfant a retrouvé sa place dans l’église. (texte rédigé d’après la présentation de Henri Faissolle, ancien maire de Bussac et de Gilbert Beynet).

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Coordonnée GPS : 45.27278469611963, 0.6076570578429606